Alors que les combats entre Israël et le Hamas font rage, un nouveau rapport indique que 576 600 personnes ont épuisé leurs réserves alimentaires et font face à une faim et une famine catastrophiques.
Selon le rapport, publié par le Programme alimentaire mondial (PAM) et l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), la population de Gaza est à risque de famine.
Le rapport a été publié alors que les combats entre Israël et le Hamas se poursuivent depuis le 10 mai. Les deux parties ont été incapables de parvenir à un cessez-le-feu et les affrontements ont fait plus de 250 morts, dont des dizaines de civils, et des milliers de blessés.
Selon le rapport, les combats ont entraîné des pertes de vies humaines et des dégâts matériels considérables, ainsi que des perturbations dans l’approvisionnement en aliments et en eau.
Le rapport a également révélé que les réserves alimentaires de la population de Gaza sont à leur plus bas niveau depuis des années et que les prix des produits alimentaires ont augmenté de manière significative.
Le PAM et la FAO ont déclaré que la situation était «grave et urgente» et que des mesures immédiates devaient être prises pour aider les personnes les plus vulnérables.
«Nous devons agir maintenant pour éviter une catastrophe humanitaire», a déclaré le directeur du PAM, David Beasley. «Nous devons nous assurer que les personnes les plus vulnérables ont accès à des aliments nutritifs et à des services essentiels.»
Le rapport a également souligné que les enfants sont les plus touchés par la crise alimentaire et que leurs besoins nutritionnels sont en danger.
«Les enfants sont les plus vulnérables à la faim et à la malnutrition et ils sont les plus susceptibles de souffrir des conséquences à long terme de la crise alimentaire», a déclaré le directeur général de la FAO, Qu Dongyu. «Nous devons agir maintenant pour éviter une catastrophe humanitaire.»
Le PAM et la FAO ont appelé à une action urgente pour aider les personnes les plus vulnérables et à un cessez-le-feu immédiat pour permettre aux organisations humanitaires d’accéder aux populations touchées.
«Nous devons nous assurer que les personnes les plus vulnérables ont accès à des aliments nutritifs et à des services essentiels», a déclaré M. Beasley. «Nous devons également nous assurer que les organisations humanitaires ont accès aux populations touchées pour leur fournir une aide alimentaire et des services essentiels.»
Le PAM et la FAO ont déclaré qu’ils travaillaient avec les autorités locales pour fournir une aide alimentaire et des services essentiels aux personnes les plus vulnérables. Ils ont également appelé à une action urgente pour mettre fin à la crise alimentaire et à la famine.
«Nous devons agir maintenant pour éviter une catastrophe humanitaire», a déclaré M. Beasley. «Nous devons nous assurer que les personnes les plus vulnérables ont accès à des aliments nutritifs et à des services essentiels.»
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Alors que les combats entre Israël et le Hamas font rage, un nouveau rapport indique que 576 600 personnes ont épuisé leurs réserves alimentaires et font face à une faim et une famine catastrophiques.
Selon le rapport, publié par le Programme alimentaire mondial (PAM) et l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), la population de Gaza est à risque de famine.
Le rapport a été publié alors que les combats entre Israël et le Hamas se poursuivent depuis le 10 mai. Les deux parties ont été incapables de parvenir à un cessez-le-feu et les affrontements ont fait plus de 250 morts, dont des dizaines de civils, et des milliers de blessés.
Selon le rapport, les combats ont entraîné des pertes de vies humaines et des dégâts matériels considérables, ainsi que des perturbations dans l’approvisionnement en aliments et en eau.
Le rapport a également révélé que les réserves alimentaires de la population de Gaza sont à leur plus bas niveau depuis des années et que les prix des produits alimentaires ont augmenté de manière significative.
Le PAM et la FAO ont déclaré que la situation était «grave et urgente» et que des mesures immédiates devaient être prises pour aider les personnes les plus vulnérables.
«Nous devons agir maintenant pour éviter une catastrophe humanitaire», a déclaré le directeur du PAM, David Beasley. «Nous devons nous assurer que les personnes les plus vulnérables ont accès à des aliments nutritifs et à des services essentiels.»
Le rapport a également souligné que les enfants sont les plus touchés par la crise alimentaire et que leurs besoins nutritionnels sont en danger.
«Les enfants sont les plus vulnérables à la faim et à la malnutrition et ils sont les plus susceptibles de souffrir des conséquences à long terme de la crise alimentaire», a déclaré le directeur général de la FAO, Qu Dongyu. «Nous devons agir maintenant pour éviter une catastrophe humanitaire.»
Le PAM et la FAO ont appelé àL’ONU a averti que la population entière de Gaza, soit 2,3 millions de personnes, est à risque imminent de famine alors que les combats entre les forces israéliennes et les combattants palestiniens font rage dans la quasi-totalité de l’enclave. Selon un rapport publié jeudi par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), le Programme alimentaire mondial (PAM) et d’autres agences des Nations Unies, ainsi que des organisations non gouvernementales, la proportion de ménages à Gaza touchés par des niveaux élevés d’insécurité alimentaire aiguë est la plus élevée jamais enregistrée dans le monde. Le rapport indique que 26 % des habitants de Gaza, soit environ 576 600 personnes, ont « épuisé leurs réserves alimentaires et leurs capacités d’adaptation et font face à une faim catastrophique… et à la famine ». Le ministère de la Santé de Gaza a déclaré vendredi que 20 057 Palestiniens avaient été tués et 53 320 blessés dans des attaques israéliennes depuis le 7 octobre, date à laquelle le conflit actuel a éclaté. Le bilan des attaques de Hamas contre Israël s’élève à environ 1 140 morts. Le ministère de Gaza a déclaré que 390 Palestiniens avaient été tués et 734 personnes blessées au cours des 48 dernières heures seulement.Des milliers de Palestiniens font face à la faim dans la bande de Gaza, selon un rapport publié par le Programme alimentaire mondial (PAM) de l’ONU. Le rapport, publié mardi, a révélé que la situation alimentaire dans la bande de Gaza s’est considérablement détériorée au cours des dernières semaines, en raison des combats entre Israël et le mouvement islamiste Hamas.
Selon le rapport, plus de 1,3 million de personnes dans la bande de Gaza sont désormais considérées comme « extrêmement vulnérables » et « à risque de famine ». Le rapport a également révélé que les Palestiniens sont confrontés à des pénuries alimentaires et à des restrictions à l’accès aux aliments, ce qui a entraîné une hausse des prix des aliments et une baisse des revenus.
Cindy McCain, directrice exécutive du PAM, a déclaré que la situation était « désespérée » et que « personne à Gaza n’est à l’abri de la famine ». « Les hostilités, y compris les bombardements, les opérations terrestres et le siège de l’ensemble de la population, ont provoqué des niveaux catastrophiques d’insécurité alimentaire aiguë », a déclaré le rapport.
Le rapport a également révélé que les Palestiniens sont contraints de rechercher du bois pour se chauffer et cuisiner, car il n’y a pas de carburant pour le faire. De plus, le rapport a révélé que les Palestiniens passent souvent des journées entières sans manger et que de nombreux adultes se privent de nourriture pour que les enfants puissent manger.
Le rapport a également souligné que si la situation actuelle de « conflit intense et d’accès humanitaire limité » persiste, il y a un « risque de famine dans les six prochains mois ». Le PAM a déclaré qu’il était « extrêmement préoccupé » par la situation et a appelé à une action urgente pour éviter une catastrophe humanitaire.
Le rapport a également souligné que les Palestiniens sont confrontés à des restrictions à l’accès à l’aide humanitaire et à des restrictions à l’accès aux aliments, ce qui a entraîné une hausse des prix des aliments et une baisse des revenus. Le PAM a déclaré qu’il était « extrêmement préoccupé » par la situation et a appelé à une action urgente pour éviter une catastrophe humanitaire.
Le rapport a également souligné que les Palestiniens sont confrontés à des restrictions à l’accès à l’aide humanitaire et à des restrictions à l’accès aux aliments, ce qui a entraîné une hausse des prix des aliments et une baisse des revenus. Le PAM a déclaré qu’il était « extrêmement préoccupé » par la situation et a appelé à une action urgente pour éviter une catastrophe humanitaire.
Le rapport a également souligné que les Palestiniens sont confrontés à des restrictions à l’accès à l’aide humanitaire et à des restrictions à l’accès aux aliments, ce qui a entraîné une hausse des prix des aliments et une baisse des revenus. Le PAM a déclaré qu’il était « extrêmement préoccupé » par la situation et a appelé à une action urgente pour éviter une catastrophe humanitaire.
Le PAM a déclaré qu’il était « extrêmement préoccupé » par la situation et a appelé à une action urgente pour éviter une catastrophe humanitaire. Les Nations Unies ont exhorté les parties à la crise à « mettre fin aux hostilités » et à « permettre un accès humanitaire sans entrave ». Les Nations Unies ont également appelé à une « solution politique durable » pour mettre fin à la crise.Le Liban a été secoué par une série de manifestations qui ont commencé le 17 octobre 2019. Les manifestants ont exprimé leur colère contre la corruption et la mauvaise gestion des finances publiques. Les manifestations ont été soutenues par des personnalités politiques et des organisations de la société civile.rnrnLes manifestants ont exigé des réformes politiques et économiques et ont appelé à la démission du gouvernement. Ils ont également demandé des élections anticipées et des mesures pour lutter contre la corruption. Les manifestants ont également appelé à la dissolution du Parlement et à la formation d’un nouveau gouvernement.rnrnLe Premier ministre Saad Hariri a démissionné le 29 octobre, mais les manifestants ont continué à exiger des réformes. Les manifestants ont également appelé à la formation d’un nouveau gouvernement indépendant et à la mise en place d’une nouvelle Constitution.rnrn
Une nouvelle Constitution
rnrnLes manifestants ont appelé à la mise en place d’une nouvelle Constitution qui garantirait la liberté d’expression et la protection des droits de l’homme. Ils ont également demandé des réformes économiques et sociales pour lutter contre la corruption et la mauvaise gestion des finances publiques.rnrn
Une nouvelle Assemblée nationale
rnrnLes manifestants ont également appelé à la formation d’une nouvelle Assemblée nationale qui serait composée de représentants de toutes les communautés du Liban. Ils ont également demandé des élections anticipées pour renouveler le Parlement.rnrn
Une nouvelle loi électorale
rnrnLes manifestants ont également appelé à la mise en place d’une nouvelle loi électorale qui garantirait la transparence et la liberté des élections. Ils ont également demandé des mesures pour lutter contre la corruption et la mauvaise gestion des finances publiques.rnrnLe Liban a été secoué par une série de manifestations qui ont commencé le 17 octobre 2019. Les manifestants ont exprimé leur colère contre la corruption et la mauvaise gestion des finances publiques. Les manifestations ont été soutenues par des personnalités politiques et des organisations de la société civile. Ils ont exigé des réformes politiques et économiques et ont appelé à la démission du gouvernement. Le Premier ministre Saad Hariri a démissionné le 29 octobre, mais les manifestants ont continué à exiger des réformes.
Les manifestants ont appelé à la mise en place d’une nouvelle Constitution qui garantirait la liberté d’expression et la protection des droits de l’homme. Ils ont également demandé des réformes économiques et sociales pour lutter contre la corruption et la mauvaise gestion des finances publiques. Ils ont également appelé à la formation d’une nouvelle Assemblée nationale qui serait composée de représentants de toutes les communautés du Liban et à la mise en place d’une nouvelle loi électorale qui garantirait la transparence et la liberté des élections.
Les manifestations ont été soutenues par des personnalités politiques et des organisations de la société civile. Elles ont été un moyen pour les Libanais de manifester leur mécontentement face à la corruption et à la mauvaise gestion des finances publiques. Les manifestants ont exigé des réformes politiques et économiques et ont appelé à la démission du gouvernement. Ils ont également demandé des élections anticipées et des mesures pour lutter contre la corruption. Les manifestants ont également appelé à la dissolution du Parlement et à la formation d’un nouveau gouvernement indépendant et à la mise en place d’une nouvelle Constitution.