Critique : “Amnesia: The Bunker” – Seul avec une bête dans un abri de la Première Guerre mondiale

Critique : « Amnesia: The Bunker » – Seul avec une bête dans un abri de la Première Guerre mondiale

Avec des mondes de jeu inquiétants et des monstres dangereux, la franchise “Amnesia” s’est imposée comme un véritable conseil d’initié dans le genre du jeu d’horreur de survie. Le quatrième volet, “The Bunker”, ne fait pas non plus dans la demi-mesure avec ses scénarios choquants.

Le jeu se déroule pendant la Première Guerre mondiale. Les joueurs se glissent dans la peau du soldat français Henri Clement qui, en essayant de sauver un ami sur le champ de bataille, perd connaissance et se réveille dans un bunker sombre. Au début, l’abri semble abandonné, mais il devient vite évident qu’il est habité par un monstre vorace.

À la recherche d’un moyen de s’échapper, vous explorez la prison souterraine à la première personne. Les outils, les armes et les munitions sont rares dans les catacombes et les ressources limitées doivent être utilisées avec parcimonie. Les lumières ne fonctionnent que grâce à un générateur diesel et dès que le réservoir est vide, vous êtes plongé dans l’obscurité totale.

Dans l’ensemble, c’est un véritable cauchemar. La bête mortelle peut se cacher à chaque coin de rue et s’échapper est un défi énorme. “Amnesia: The Bunker” n’est définitivement pas pour les joueurs aux nerfs fragiles, mais une chasse inquiétante où l’on ne se sent jamais en sécurité, dans un labyrinthe plein de détours.

“Amnesia: The Bunker” est disponible sur PC, PlayStation 4, Xbox One et les séries X/S, et coûte environ 25 €/25 $US (61 RM en Malaisie). – dpa

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