- jeu, 12 décembre 2024
Le procès de l’activiste hongkongais Jimmy Lai a commencé lundi sous haute sécurité, alors que le fondateur du journal Apple Daily est accusé de collusion avec des forces étrangères. Lai, 71 ans, est le plus haut profil des 47 personnes accusées d’avoir violé la loi sur la sécurité nationale imposée par Pékin en juin dernier. Il est accusé d’avoir «collaboré avec des forces étrangères» et encourt une peine maximale de vingt ans de prison.
Le procès s’est ouvert à huis clos à la Cour intermédiaire de Hong Kong, où des agents de sécurité ont été déployés pour empêcher les manifestants de s’approcher du tribunal. Lai est arrivé à la cour avec une équipe d’avocats et a été salué par des supporters qui l’ont appelé «héros» et «patriote». Il a été escorté par des agents de sécurité et des policiers à l’intérieur du tribunal.
Lai est le fondateur du journal Apple Daily, qui est devenu un média critique de Pékin et de son administration à Hong Kong. Il est également un ardent défenseur des droits de l’homme et des libertés civiles à Hong Kong.
Le procès de Lai est le premier à être entendu sous la loi sur la sécurité nationale, qui a été imposée par Pékin pour mettre fin aux manifestations pro-démocratie qui ont secoué la ville pendant des mois. La loi interdit les actes de sécession, de subversion, de terrorisme et de collusion avec des forces étrangères.
Le procès de Lai est le plus haut profil à ce jour et a été qualifié de «procès politique» par ses avocats. Il est le premier à être entendu sous la loi sur la sécurité nationale et est considéré comme un test de la loi et de la liberté d’expression à Hong Kong.
Lai a été arrêté en août et a été accusé de collusion avec des forces étrangères. Il a été libéré sous caution et a été interdit de quitter Hong Kong. Il a également été accusé de «fraude fiscale» et de «fraude bL’audience du procès de Jimmy Lai, le magnat des médias pro-démocratie de Hong Kong, a commencé le 18 décembre 2023 sous une forte sécurité. Des policiers armés et des véhicules blindés étaient présents devant le tribunal de West Kowloon.
Jimmy Lai, 71 ans, est accusé de collusion avec des forces étrangères, une accusation qui pourrait lui valoir une peine de prison à vie. Il est le premier à être poursuivi pour cette infraction depuis l’entrée en vigueur de la loi sur la sécurité nationale imposée par Pékin en juin 2020.
L’audience a été marquée par une présence policière importante et des mesures de sécurité strictes. Des policiers armés et des véhicules blindés étaient présents devant le tribunal de West Kowloon. Des manifestants pro-démocratie se sont rassemblés pour soutenir Jimmy Lai et dénoncer la loi sur la sécurité nationale.
Jimmy Lai est le fondateur du journal Apple Daily, un journal pro-démocratie très populaire à Hong Kong. Il est également le fondateur de Next Digital, une entreprise de médias qui possède plusieurs médias, dont le journal Apple Daily.
Le procès de Jimmy Lai est le premier à être intenté sous la loi sur la sécurité nationale. Il est accusé de collusion avec des forces étrangères, une accusation qui pourrait lui valoir une peine de prison à vie. Il est également accusé de participation à des manifestations illégales et de possession illégale d’armes à feu.
Le procès de Jimmy Lai est considéré comme un test pour la loi sur la sécurité nationale et pour la liberté de la presse à Hong Kong. La loi sur la sécurité nationale a été imposée par Pékin en juin 2020 et elle a été critiquée par les défenseurs des droits de l’homme et les médias libres.
Le procès de Jimmy Lai est suivi de près par les défenseurs des droits de l’homme et les médias libres à travers le monde. Les observateurs craignent que le procès ne soit pas juste et que la loi sur la sécurité nationale ne soit pas appliquée de manière équitable.
Le procès de Jimmy Lai est un test pour la liberté de la presse à Hong Kong et pour la loi sur la sécurité nationale. Les défenseurs des droits de l’homme et les médias libres à travers le monde attendent avec impatience le verdict du procès.Le procès de l’activiste hongkongais Jimmy Lai et de son journal Apple Daily a commencé ce lundi avec une forte présence policière. Lai, qui est accusé de collusion avec des forces étrangères, est considéré comme l’un des principaux opposants à la loi sur la sécurité nationale imposée par Pékin.
L’audience s’est tenue dans un tribunal de Hong Kong sous haute sécurité. Des policiers armés étaient présents à l’extérieur et à l’intérieur du bâtiment. Des barrières métalliques ont été installées pour empêcher les manifestants de s’approcher du tribunal.
Lai, âgé de 72 ans, est accusé d’avoir violé la loi sur la sécurité nationale en publiant des articles sur son journal Apple Daily qui critiquaient le gouvernement chinois. Il est également accusé d’avoir recruté des journalistes étrangers pour écrire des articles sur la situation à Hong Kong.
Lai a été arrêté en août 2020 et a été libéré sous caution. Il a été accusé de collusion avec des forces étrangères, ce qui est passible d’une peine de prison allant jusqu’à 10 ans.
Lai a déclaré à la presse qu’il était innocent et qu’il était prêt à affronter les accusations portées contre lui. Il a déclaré qu’il était prêt à «payer le prix» pour ses convictions et pour défendre la liberté de la presse à Hong Kong.
Le procès de Lai et de son journal Apple Daily est le premier à être intenté sous la nouvelle loi sur la sécurité nationale. Il est considéré comme un test pour la liberté de la presse à Hong Kong et pour la résistance à la loi imposée par Pékin.
Le procès de Lai et de son journal Apple Daily est suivi de près par les défenseurs des droits de l’homme et les médias internationaux. Les observateurs craignent que le procès ne soit pas juste et que Lai ne soit pas traité équitablement.
Le procès se poursuivra toute la semaine et le verdict sera rendu dans les prochaines semaines.L’ouverture du procès historique de l’activiste pro-démocratie et critique de la Chine, Jimmy Lai, s’est tenue à Hong Kong lundi 18 décembre, sous haute sécurité. Lai, fondateur du journal pro-démocratie Apple Daily et l’un des plus célèbres critiques de la direction du Parti communiste chinois à Hong Kong, fait face à une salve de procédures judiciaires depuis le début des manifestations pro-démocratie en 2019.
Le procès très attendu a commencé avec une foule de policiers déployés et des queues se formant devant le bâtiment du tribunal de West Kowloon la veille. Le chef de la sécurité de Hong Kong a averti la semaine dernière que toute tentative de perturber les procédures ne serait pas tolérée.
Lai, âgé de 76 ans, est apparu calme et plus mince que lors de ses précédentes apparitions devant le tribunal, souriant et saluant la salle bondée. Entouré de quatre gardes, il a été vu en train de lire des documents judiciaires alors que son avocat principal, Robert Pang, s’adressait aux trois juges en perruques et robes rouges.
« Lorsque des droits fondamentaux sont engagés, toute protection doit être interprétée généreusement en faveur de M. Lai et étroitement pour la poursuite », a déclaré Pang à la cour. Lai a plaidé non coupable à toutes les accusations.
Des démocraties occidentales, y compris les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Union européenne, suivent de près le procès, qui s’annonce comme un nouveau point de friction diplomatique et un test clé pour l’indépendance judiciaire et les libertés de Hong Kong sous la loi nationale de sécurité imposée par la Chine en 2020.
Le Royaume-Uni a durci sa position dimanche envers le sort de Lai, citoyen britannique, en appelant explicitement les autorités à le libérer. Lai, que le ministère chinois des Affaires étrangères a récemment qualifié de « notoire élément anti-chinois », est détenu en prison depuis plus de 1000 jours. Il fait face à plusieurs chefs d’accusation sous la loi, notamment la collusion avec des forces étrangères, ce qui implique d’appeler à des sanctions contre des responsables hongkongais et chinois.Le magnat des médias pro-démocratie de Hong Kong, Jimmy Lai, a comparu devant le tribunal de West Kowloon pour le premier jour de son procès. Lai, fondateur du journal Apple Daily, est accusé d’avoir violé la loi sur la sécurité nationale imposée par Pékin.
Le procès de Jimmy Lai a été le premier à être ouvert sous la nouvelle loi sur la sécurité nationale imposée par Pékin à Hong Kong. La loi, qui a été imposée en juin, interdit les actes de sédition, de subversion, de terrorisme et de collusion avec des forces étrangères.
Lai, 71 ans, est accusé d’avoir violé la loi sur la sécurité nationale en participant à des manifestations pro-démocratie à Hong Kong. Il est également accusé d’avoir encouragé les autres à participer à des manifestations illégales.
Le procès de Lai a été ouvert devant une cour bondée, avec des membres du public qui faisaient la queue pour entrer dans la salle d’audience. Lai a été escorté par des policiers et a été salué par des manifestants qui se sont rassemblés devant le tribunal.
Lai a été arrêté en août et a été inculpé de sédition et de collusion avec des forces étrangères. Il a été libéré sous caution et a été interdit de quitter Hong Kong.
Le procès de Lai a été suivi de près par les défenseurs des droits de l’homme et les pays occidentaux, qui ont condamné la loi sur la sécurité nationale et accusé Pékin de vouloir réprimer la dissidence à Hong Kong.
Le Royaume-Uni a appelé à la libération de Lai et a déclaré que le procès était une «grave violation des droits de l’homme». Le Premier ministre britannique, David Cameron, a déclaré que le procès était «une attaque directe contre la liberté d’expression et la liberté de la presse».
Le procès de Lai est le premier d’une série de procès qui devraient se tenir sous la nouvelle loi sur la sécurité nationale. Les autorités de Hong Kong ont déclaré que la loi était nécessaire pour maintenir la sécurité et la stabilité à Hong Kong.Lundi, le procès de l’activiste hongkongais Jimmy Lai a commencé sous une forte sécurité. Lai, fondateur du journal Apple Daily, est accusé d’avoir violé la loi sur les manifestations illégales de Hong Kong.
Le procès s’est ouvert à la Cour de district de West Kowloon, où des policiers en uniforme et en civil ont été déployés pour maintenir l’ordre. Des barrières métalliques ont été installées autour du tribunal et des agents de sécurité ont été postés à l’entrée.
Lai, âgé de 72 ans, est accusé d’avoir organisé et participé à des manifestations illégales en 2019 et 2020. Il est également accusé d’avoir encouragé d’autres personnes à participer à des manifestations illégales.
Lai est l’un des principaux opposants à la loi sur la sécurité nationale imposée par Pékin à Hong Kong en juin 2020. Il a été arrêté à plusieurs reprises pour avoir participé à des manifestations illégales et pour avoir encouragé d’autres à le faire.
Lai a été arrêté en août 2020 et inculpé de sept chefs d’accusation, dont ceux liés aux manifestations illégales. Il a été libéré sous caution et interdit de quitter Hong Kong.
Lai a déclaré à la presse qu’il était innocent et qu’il était prêt à affronter les accusations portées contre lui. Il a déclaré qu’il était prêt à «payer le prix» pour ses convictions et pour sa défense des droits de l’homme à Hong Kong.
Le procès de Lai est le premier à être intenté sous la loi sur la sécurité nationale. Il est considéré comme un test de la loi et de la capacité de Pékin à imposer sa volonté à Hong Kong.
Le procès de Lai a suscité une vive opposition de la part des défenseurs des droits de l’homme et des militants pro-démocratie à Hong Kong. Ils ont déclaré que le procès était une tentative de Pékin de réprimer la liberté d’expression et de réduire au silence les opposants à la loi sur la sécurité nationale.
Le procès de Lai est suivi de près par les médias internationaux et les défenseurs des droits de l’homme. Il est considéré comme un test de la liberté d’expression et des droits de l’homme à Hong Kong.Le procès de Jimmy Lai, un des principaux opposants à la loi sur la sécurité nationale imposée par Pékin à Hong Kong, a débuté ce lundi. La sécurité était très stricte autour du tribunal, où des centaines de policiers étaient déployés.
Jimmy Lai, fondateur du journal Apple Daily, est accusé d’avoir violé la loi sur la sécurité nationale en organisant des rassemblements illégaux et en appelant à l’action civile non violente. Il est le premier opposant à être poursuivi pour avoir violé cette loi controversée.
Le procès s’est ouvert dans un climat de tension, avec des centaines de policiers déployés autour du tribunal et des manifestants qui scandaient des slogans tels que «Libérez Jimmy Lai» et «Défendez la liberté de la presse». Des dizaines de ses partisans étaient également présents pour le soutenir.
Le procureur a déclaré que Lai avait «violé la loi sur la sécurité nationale et encouragé les autres à enfreindre la loi». Il a ajouté que Lai avait «délibérément et intentionnellement» enfreint la loi et «encouragé les autres à enfreindre la loi».
Lai a nié les accusations et a déclaré qu’il était «innocent». Il a déclaré qu’il était «déterminé à défendre la liberté de la presse et à défendre la liberté d’expression».
Le procès de Lai est le premier à être intenté sous la loi controversée sur la sécurité nationale, qui a été imposée par Pékin à Hong Kong en juin dernier. La loi a été vivement critiquée par les défenseurs des droits de l’homme et les opposants à Pékin, qui craignent qu’elle ne soit utilisée pour réprimer la dissidence et réduire les libertés civiles à Hong Kong.
Le procès de Lai est un test pour la loi sur la sécurité nationale et pourra déterminer si elle sera appliquée de manière stricte ou non. La décision du tribunal aura des conséquences importantes pour l’avenir de Hong Kong et pourra déterminer si la loi sera appliquée de manière stricte ou non.