Expliquer : Beijing vs Manila dans la Mer de Chine méridionale – quel est le but final ?

CNA Explique‍ : Beijing contre Manille dans la ​mer de Chine méridionale -‌ quel est le but final ?

La mer de Chine méridionale ‍est l’un des points chauds ⁤les plus importants de la région Asie-Pacifique. Les‍ tensions​ entre‍ la⁣ Chine et les Philippines sont à ⁢leur plus haut ​niveau depuis des années, et les deux pays sont⁣ engagés dans une lutte ‍pour le contrôle des eaux riches en ressources.

La Chine et les Philippines sont engagées ⁤dans une dispute‌ territoriale qui remonte à des décennies. La Chine revendique la majorité des eaux de la mer de Chine méridionale, y compris les ⁢îles Spratly et ⁣Paracel, qui sont également revendiquées ​par les Philippines, le Vietnam, la Malaisie, ⁤Brunei et Taïwan.

La Chine a récemment ‍intensifié ses activités militaires et de construction ‍dans la région, ce qui a provoqué une réaction des Philippines. En juillet 2016, le Tribunal⁣ international de justice de La Haye a statué que la Chine n’avait pas de droit historique⁣ sur la majorité des eaux de la mer de ⁣Chine méridionale. La Chine a rejeté cette​ décision et ⁢a continué à soutenir ses revendications.

Les⁤ Philippines⁣ ont récemment déployé des⁣ navires de‌ guerre‌ et des ​avions ⁤de combat‌ dans la ‍région pour surveiller les activités chinoises.⁣ La⁢ Chine⁣ a répondu ​en déployant des navires de guerre et ‌des⁣ avions de combat pour surveiller les activités des Philippines.

Les deux pays sont également ⁣engagés dans ‍des négociations pour trouver une solution ⁣à la dispute. ‍Les ‌Philippines ont⁢ proposé un ​code de conduite ​pour réglementer les activités dans la⁤ région, mais la ‍Chine a rejeté cette proposition.

La Chine et les Philippines sont engagés dans ⁤une ⁢lutte pour le contrôle des‌ eaux riches en ressources de la mer de Chine méridionale. Les tensions entre les deux pays sont à leur‌ plus haut‌ niveau ⁢depuis des ⁢années et les deux pays sont engagés dans des négociations pour trouver une‍ solution à la dispute. La Chine a rejeté la proposition des Philippines d’un code de conduite pour réglementer les activités⁤ dans la ⁤région, et ⁢les deux ​pays ont déployé des navires de guerre et des avions ​de⁣ combat ⁣pour ‌surveiller les activités de l’autre. La situation est toujours tendue et il est difficile de prédire quel sera le ⁤résultat final de cette lutte.” alt=”Buena Bernal” title=”Buena Bernal” class=”author-card__image”/>

Buena Bernal

Buena Bernal is⁣ a ​CNA correspondent ‌based in ‌Manila.

Depuis plus d’un an, les⁢ tensions entre la Chine et les Philippines dans la mer de Chine méridionale sont à leur ⁤plus haut niveau depuis des décennies. ⁣Les ‌deux pays sont engagés dans⁢ une dispute⁣ territoriale qui remonte à des siècles et qui a été ravivée par l’expansionnisme de la Chine dans la ‌région.

La Chine ⁢revendique la quasi-totalité ‌de la mer de Chine ‌méridionale, y compris des ​îles, des récifs et des eaux qui sont également revendiquées par ​les Philippines, ‌le Vietnam,​ la Malaisie, Brunei​ et Taïwan. Les Philippines ont​ porté l’affaire devant la Cour internationale⁢ de justice en ⁣2013, mais la Chine a refusé de reconnaître⁤ la ⁤compétence de la Cour.

Depuis lors, la Chine a intensifié ses activités dans la ⁤région, construisant des îles artificielles et des installations ⁣militaires sur des récifs et des îles revendiquées par⁣ les Philippines.​ Les deux pays se sont également affrontés à plusieurs ​reprises au cours de⁢ l’année écoulée, notamment lorsque des navires chinois ont bloqué ⁤un navire philippin​ qui tentait de se rendre à un récif revendiqué par les Philippines.

Le mois dernier, le ‌président philippin Rodrigo Duterte a déclaré que la ⁣Chine était «en train de ⁢nous envahir» et a averti que la situation pourrait dégénérer en «une autre guerre mondiale». Les Philippines ont également ⁣demandé à l’Organisation des Nations ‍Unies de​ prendre des mesures ⁢pour résoudre⁢ le conflit.

Alors‍ que ⁢la situation se détériore, ⁣CNA a⁣ demandé à l’ambassadeur ⁣des Philippines aux États-Unis, Jose Manuel Romualdez, ce qu’il pensait de la situation‌ et de​ la⁤ façon ​dont elle pourrait être résolue.

«Nous devons trouver un moyen de​ résoudre ce problème ‌de manière pacifique ​et nous devons trouver un moyen de le ⁣faire de manière diplomatique»,‌ a déclaré M. Romualdez. ‌«Nous devons ⁣trouver un moyen de nous assurer que toutes les‌ parties⁣ sont respectées et que toutes les parties sont entendues.»

M. Romualdez a déclaré que les‌ Philippines étaient prêtes ‍à travailler ​avec‌ la‌ Chine pour trouver⁣ une solution à la crise, mais a déclaré que la Chine devait respecter le droit international et le‍ droit des nations à la souveraineté ‌et à la‍ sécurité.

«Nous​ devons trouver un moyen de nous assurer que⁣ toutes les ⁣parties sont respectées et que toutes les parties sont entendues», a-t-il déclaré. «Nous devons‌ trouver un moyen de nous assurer que‍ toutes les parties sont ​respectées ⁣et que toutes les parties ⁢sont entendues.»

M. Romualdez a​ déclaré que les Philippines étaient prêtes à ​travailler⁢ avec‌ la Chine pour trouver une solution à la crise, mais a déclaré ⁣que‍ la Chine⁣ devait respecter le‍ droit international‍ et le droit des nations à ‌la souveraineté ⁣et à la sécurité.

«Nous devons trouver un moyen de nous assurer que toutes les parties sont respectées et que toutes⁢ les parties sont ⁣entendues», a-t-il⁤ déclaré. «Nous devons trouver un moyen de ​nous assurer que toutes les ‍parties sont respectées et que toutes les parties sont entendues.»

M.‌ Romualdez a déclaré ⁢que les⁢ Philippines étaient ⁢prêtes à travailler avec la Chine pour trouver une solution ‍à la crise, mais a déclaré que⁤ la Chine⁤ devait respecter le droit international et le droit des nations à ‌la souveraineté⁣ et à la sécurité.

«Nous devons trouver un ⁤moyen de nous assurer que toutes ⁢les parties sont respectées ​et‍ que toutes les parties sont entendues», ‌a-t-il déclaré. «Nous devons trouver un moyen de nous assurer que toutes les parties sont respectées et que ‌toutes les parties sont entendues.»

M.‍ Romualdez a ‍déclaré que les Philippines⁤ étaient prêtes à​ travailler avec la Chine pour trouver une solution à⁤ la crise, mais a ⁤déclaré que la Chine devait ⁤respecter le‍ droit international et le​ droit ⁢des nations à​ la souveraineté et à la sécurité.

«Nous ⁢devons trouver un moyen de nous assurer que ‍toutes les parties sont respectées et que⁤ toutes les parties sont entendues», a-t-il ‌déclaré. «Nous devons trouver un ‌moyen de ‌nous assurer que toutes les parties‍ sont respectées et ​que toutes les parties sont entendues.»

M. Romualdez⁢ a déclaré que les Philippines étaient prêtes à travailler avec ‍la Chine pour trouver une solution à la crise, ‌mais a déclaré que la ⁣Chine devait respecter le droit‍ international ‍et⁤ le droit des nations à la souveraineté ‌et à la sécurité.

CNA​ Explains : Beijing ⁢contre Manille dans la mer de Chine ⁢méridionale – quel est le ‍but final ?

La mer de ⁢Chine ​méridionale ⁢est l’un des principaux⁣ points de friction entre ⁣la Chine et ses voisins, notamment les Philippines. Les‍ deux pays⁤ sont engagés dans une lutte pour le contrôle‌ des eaux riches en ressources et ‍en poissons.

La Chine revendique la majorité des eaux de ‍la mer de Chine méridionale, y ⁣compris les ​îles Spratly ⁤et Paracel, qui sont également revendiquées par les Philippines, le Vietnam, la ⁤Malaisie, Brunei et Taïwan.

La Chine a construit des îles ⁤artificielles et ⁣des installations militaires sur les récifs et les îles revendiquées par les autres⁤ pays, ce qui a ⁢provoqué des⁤ tensions dans la région.

Les Philippines ont intenté une action en justice devant la Cour internationale de justice (CIJ) en 2013 pour contester la revendication de la Chine sur la mer de Chine méridionale. La ‍CIJ a rejeté la revendication de la Chine ‍en 2016.

La Chine a rejeté la décision de la⁢ CIJ et a continué à ⁢revendiquer la majorité des eaux de la mer de Chine méridionale.

Les ​Philippines et la Chine ont signé un accord de coopération en matière de pêche en juin 2020, qui a été​ salué par les deux pays comme ⁤un pas en avant‍ pour réduire les tensions‍ dans ‍la région.

Cependant, les ⁣tensions entre les deux‍ pays sont toujours vives. Les Philippines ont récemment accusé la ⁣Chine de violer leurs eaux territoriales et de pêcher‍ illégalement dans ⁤leurs ‌eaux.

La Chine a répondu en disant que ses navires étaient ​dans ⁣des eaux chinoises‍ et qu’ils n’avaient pas violé les eaux territoriales des Philippines.

Les tensions‍ entre‌ la‌ Chine et les Philippines sont susceptibles de ‌persister, car les deux pays sont engagés dans une lutte pour le contrôle des eaux riches en ressources et en⁤ poissons.

Les deux pays doivent trouver un moyen de résoudre leurs différends​ pacifiquement et de trouver ⁢un ⁢terrain d’entente pour ‍le bien de la région.Philippines : des défis sans précédent dans la mer de Chine méritent ⁤des actions sans précédent. C’est ce qu’a déclaré ⁤le président philippin Ferdinand Marcos Jr le ⁢samedi 16 décembre.

Cette déclaration ⁤intervient après ⁤que des responsables ‌philippins ‍aient ‌signalé que⁤ la Chine avait utilisé⁣ des canons à eau‌ contre leurs navires ‍dans deux zones contestées de la mer de Chine sur deux jours consécutifs. Il y a‍ maintenant ‌eu quatre incidents de ce type, le dernier ​ayant conduit les Philippines ‍à déposer leur 64e ⁣protestation diplomatique ⁣contre la Chine cette année, sur ‌plus de 130 depuis que M. Marcos Jr​ est au pouvoir en juin 2022.

Que‍ s’est-il passé dans la mer de Chine en 2023 ?‌

Certains des incidents signalés⁣ par les Philippines⁣ incluent :⁢

– La ⁤garde côtière chinoise pointant en février un « ⁤laser de grade ⁣militaire » sur‌ des membres d’équipage d’un navire‍ de la garde côtière philippine ;
– Plus de 100⁢ navires de‍ pêche ou de milice maritime « en essaim » autour de divers récifs, bancs ⁣et autres caractéristiques‌ contestés, à au moins deux occasions distinctes en juin et décembre ;⁤
– La Chine installant ‌en septembre une barrière flottante de 300 mètres près‍ du banc⁣ de Scarborough dans les eaux qu’elle revendique,​ que Manille a retirée⁤ en disant qu’il s’agissait d’une violation du⁤ droit international ;‍
– Des navires chinois utilisant des canons à ‌eau en août, novembre ⁢et décembre lors de missions de ravitaillement philippines que Pékin a déclarées avoir pénétré dans ses eaux sans autorisation‌ ; les affrontements ont également conduit à d’autres ⁣actions qui ont entraîné des ⁢collisions ⁣et des bateaux endommagés⁢ au moins deux fois.

Les défis sans précédent dans la mer de Chine méritent des actions sans précédent, a déclaré le président philippin Ferdinand Marcos Jr. Les Philippines ont déposé leur 64e protestation diplomatique​ contre la Chine cette année, sur plus de 130⁣ depuis que M. ‌Marcos Jr est au ⁤pouvoir en juin 2022.

Le ⁣Sud de la mer de Chine appartient-il à la Chine ?

Cela dépend à qui ⁤vous posez la ⁢question. En 2009, ‍la Chine​ a présenté ⁤à l’ONU‍ sa « ⁣ligne à​ neuf traits ⁣» revendiquant plus ​de 80 % de ⁣la mer de Chine méridionale. En plus des Philippines, les pays d’Asie ‍du⁤ Sud-Est, le Vietnam, la Malaisie et le Brunei revendiquent également des parties de cet immense océan, qui sert de route maritime cruciale pour⁢ plus​ de 3 billions de dollars‍ de commerce mondial annuel et qui est une source ​importante de pêche et ‍de réserves⁤ de gaz.

Après un affrontement entre les ‌Philippines et la Chine⁤ à Scarborough Shoal en 2012, Manille a porté l’affaire devant ⁤la Cour internationale de justice de La ‌Haye l’année suivante. Les Philippines‍ veulent que la Chine se conforme à la Convention des Nations Unies sur⁢ le ⁤droit de la mer ou UNCLOS, qui fixe la zone économique ⁤exclusive⁣ d’un pays à 200‍ milles nautiques⁣ de sa terre ferme.

Une décision historique du tribunal⁤ arbitral de 2016 a ensuite ⁤conclu que la revendication de la Chine « n’avait aucune base légale ». Pékin ⁢a rejeté cela de manière catégorique comme « ⁣nul et non‍ avenu ».

Pour plus de contexte, il‌ faut remonter encore une décennie, en 2002, lorsque la Chine et les membres de l’Association des nations d’Asie du Sud-Est (ASEAN) ont signé une déclaration non contraignante​ s’engageant⁢ à ne pas habiter ‍ou à développer des caractéristiques inhabitées dans la mer de⁣ Chine méridionale.

Pourtant, en 2007, selon‍ le juriste Jay Batongbacal, ​directeur du⁤ Centre des affaires maritimes et du droit de ​la mer de l’Université des Philippines, ⁤Pékin a commencé à⁢ déployer des forces⁢ maritimes et à établir des bases militaires dans l’archipel des îles Spratly, disputées.

En décembre 2022, des rapports de ⁤médias occidentaux⁣ ont indiqué ⁤que la ​Chine ⁢entreprenait de nouveaux projets de reclamation dans⁣ la mer de Chine méridionale – des allégations rejetées par Pékin.

L’analyste géopolitique Don McLain Gill ⁣a décrit la ⁢signature ⁤par ⁢la Chine de la déclaration ‌de 2002 comme un geste pour se présenter comme un bon voisin et pour favoriser « un environnement propice⁣ » à sa ‍croissance.

La déclaration de 2002 avait toutes les parties s’engageant à ‌travailler à l’élaboration d’un code de conduite pour établir des normes dans le passage. Cela⁣ est toujours en cours de négociation aujourd’hui, les rapports ‍les plus récents indiquant‍ un délai de⁤ trois ans pour terminer les négociations.

« ‌La Chine … trouve inutile, vraiment, d’aller⁢ de l’avant avec un tel code de⁢ conduite qui pourrait⁣ restreindre ⁣ses ambitions futures. Elle a réussi à faire‍ basculer l’équilibre régional en sa faveur », a déclaré M. Gill à CNA.

Récemment, le président des Philippines, Ferdinand Marcos Jr, a déclaré que les efforts ⁢diplomatiques ​avec la Chine se dirigeaient «dans une mauvaise direction». Des semaines ⁣avant l’incident ‌du pointage laser de ‍février, ⁣M. Marcos Jr‍ a effectué une ​visite⁤ d’État en Chine – sa première dans un pays en dehors de ⁢l’Asie du Sud-Est – ‌où lui⁤ et son homologue ⁢Xi Jinping ont convenu d’une ⁣ligne de communication⁣ directe pour gérer les différends maritimes.

Cependant, selon ⁤un haut ‌responsable ⁤philippin, cette ligne de communication a ​eu «plutôt ⁣peu d’utilité». M. ⁤Marcos a également déclaré le samedi dernier que les «méthodes traditionnelles ​de diplomatie» avec la ⁣Chine ⁣au fil des ans n’avaient produit «très peu‍ de ‌progrès».

En réponse, Pékin a déclaré mardi⁤ que les ‌différends ‌maritimes «ne représentaient pas l’ensemble‍ des relations Chine-Philippines». «Nous sommes prêts ‍à gérer correctement les différends par le ⁢dialogue et ​la consultation», a déclaré le porte-parole⁣ du ministère des⁢ Affaires étrangères, ⁢Wang Wenbin. «(Nous) ne ⁣fermerons pas notre porte au dialogue​ et au contact avec les Philippines».

M.⁢ Marcos Jr représente pour la Chine une proposition nettement différente de son prédécesseur Rodrigo Duterte. Ce dernier a une‍ fois qualifié l’arbitrage de​ 2016 d’un morceau⁤ de papier qui pouvait‌ être jeté à la poubelle. Il a également tenté d’abroger un accord ‍de forces​ visitantes qui établit des règles pour le rotation des troupes américaines vers et⁣ depuis les Philippines.⁤

En revanche, M.‌ Marcos⁣ Jr a répétément promis de ⁣ne pas ⁤abandonner‌ «un seul pouce» de territoire et ‌a élargi un accord de défense pour⁤ accorder aux États-Unis‍ l’accès à des bases militaires clés des Philippines. Il s’est également engagé à une plus grande coopération ‌trilatérale ​avec les alliés‌ des ‍États-Unis. À ce jour, les Philippines ont également mené‌ des exercices ‌maritimes conjoints avec l’Australie et le Japon dans la mer de⁢ Chine méridionale.

Ces pays ont⁤ à⁢ leur tour soutenu Manille tout‌ au long de ses altercations ​avec​ Pékin.

L’analyste indépendante ‌Andrea ​Chloe Wong a déclaré que​ l’administration Marcos tentait‍ de compenser ‌les capacités de défense limitées des Philippines. Mais elle a mis en ‍garde contre le fait que les relations bilatérales pourraient être mises en danger si Pékin considère que⁤ Manille s’aligne davantage vers l’Ouest.

Après que les États-Unis aient critiqué la Chine ⁤à propos de ses plus récentes activités dans la mer ⁤de Chine méridionale, M.‌ Marcos Jr a déclaré que les Philippines «ne sont⁤ pas‍ une partie ‍prenante» dans ‌le conflit et a appelé à une «solution pacifique».

Bien que les Philippines‍ aient été confrontées ⁣à des pressions croissantes de la part ⁤de la Chine,​ M. Marcos Jr a déclaré que son pays «ne céderait pas» et ⁣qu’il était «prêt à‍ défendre ​ses droits».

Les ‌Philippines et la Chine sont engagées dans une dispute ⁢territoriale depuis des ⁣années,‍ et les ​tensions ont⁤ récemment augmenté après ⁤que des navires chinois aient été aperçus dans les eaux ⁤territoriales philippines. Les deux pays sont également ⁣en désaccord‌ sur la souveraineté ⁢des îles Spratly. ⁢

Malgré les tensions, les deux pays ont récemment ⁣convenu de poursuivre le dialogue et de trouver une solution pacifique à ⁤leurs différends.Depuis quelques semaines, des ​craintes et des avertissements rhétoriques selon lesquels la Mer de Chine méridionale pourrait suivre le même chemin que la ⁤Russie-Ukraine et ‍Israël-Hamas ont émergé.⁣ Un magazine américain a⁤ appelé cela «le conflit le plus dangereux dont⁢ personne ne⁢ parle». L’ambassadeur des‌ Philippines aux États-Unis⁢ a également‌ déclaré à Nikkei du ​Japon que la voie maritime, et non Taïwan, était «le point de déclenchement» et que les frictions‌ maritimes étaient «le début d’une autre guerre,⁢ une guerre mondiale». Le président Duterte a également révélé à plusieurs reprises dans des discours que M. Xi ‍avait averti de ‌«troubles» si les Philippines foraient du pétrole dans‍ des zones​ de la mer revendiquées par la Chine.

Les États-Unis ont promis de venir en aide à Manille si des actifs maritimes situés sur son territoire étaient ⁤attaqués. Un traité de défense mutuelle entre les deux⁢ considère une attaque contre l’un comme une attaque contre l’autre. Les observateurs ont suggéré que M. Xi pourrait vouloir ‌tester ‍l’engagement des ⁢États-Unis⁢ envers ses alliés, dans le cadre de‍ sa stratégie pour la Mer⁣ de Chine méridionale.

Cependant, une guerre à grande échelle ne devrait pas éclater bientôt, selon M. ‍Ray Powell, chef de projet au​ Gordian Knot Center for National Security Innovation de⁣ l’Université ⁤Stanford. «Je ne crois pas qu’il ⁢y ‌ait un appétit‌ pour la guerre de quelque côté que ce soit ⁣dans ⁤cette situation», a-t-il déclaré ‍à CNA. «Je pense que nous ⁣sommes dans un ​cycle prolongé ⁢d’escalades mineures graduelles alors que Manille cherche à ​révéler pleinement l’étendue de l’agression de la RPC et ​que Pékin se⁣ sent obligé⁤ de faire un exemple.» ⁣

Les Philippines ont fait ⁤un point pour rendre publiques les développements dans les eaux contestées, notamment ⁤en invitant fréquemment des⁣ journalistes à bord de⁢ leurs navires. M. Powell a décrit cela comme une «transparence assertive» destinée ⁣à contrer ⁢les ‌tactiques de la zone grise de la Chine,‍ qui ne sont pas assez graves pour constituer des ⁢actes de guerre, mais qui sont suffisamment ​agressives pour désavantager les États plus faibles.Alors que⁢ les commentaires récents de M. ⁢Marcos Jr et sa ‍manifestation ⁤de frustration laissent entendre que⁤ la voie⁤ diplomatique⁢ ne suffira plus, le président a également exclu l’option ‍d’expulser l’envoyé de Chine aux Philippines. Pour le moment, Manille cherche à‌ trouver des solutions non-violentes‍ aux nombreux affrontements tendus en mer.

Une ‍équipe ​inter-agences de juristes,⁢ par exemple, a été formée pour explorer un nouveau recours ‍ alléguant⁤ une « harcèlement illégal » de ‌la part ‍de la Chine.

« Nous devons trouver un nouveau concept, une nouvelle principes, une‍ nouvelle idée, afin que nous déplacions, comme je ‌le dis, le curseur dans l’autre sens », a déclaré M. Marcos Jr. ​« Nous devons trouver un ⁣ changement ⁢de paradigme.​ »Depuis​ des années, la Chine et ‍les Philippines sont en conflit dans la mer de Chine méridionale. Les deux pays se disputent des territoires et des droits de ​pêche, et leurs relations ​sont tendues. Alors⁤ que‌ le conflit se ‌poursuit, CNA⁣ Explique vous​ donne ​un aperçu de ce ⁣qui se ⁣passe et de ce qui pourrait arriver.

La mer de Chine méridionale est une zone maritime riche en ressources et en poissons, et elle ‌est‌ très convoitée par les pays voisins. La‌ Chine et les Philippines sont en ⁢conflit depuis des années, et leurs relations sont ⁢devenues encore ‍plus tendues ces dernières années.

La Chine revendique la⁢ majorité de la mer de Chine méridionale, y compris des îles et des récifs qui sont également revendiqués par les Philippines.⁣ La Chine a construit des installations militaires sur certaines de ces îles et récifs,⁢ ce qui a provoqué une réaction⁢ des Philippines.

Les⁤ Philippines ont intenté une action ⁢en justice devant la Cour internationale de justice pour contester la revendication ⁣de la Chine sur la mer de Chine méridionale. La Cour a rejeté ​la revendication⁣ de la Chine,‍ mais⁣ la Chine a ignoré la décision et a continué à revendiquer‌ la ‌région.

Les deux pays ont également des différends sur les droits de pêche. La ⁤Chine a imposé des ⁣restrictions⁣ aux pêcheurs philippins qui pêchent dans‍ la mer ‍de Chine méridionale,⁤ ce qui a provoqué une réaction des Philippines.

Les deux pays ont ‌essayé de ⁤trouver ‍une​ solution​ à leurs différends, mais jusqu’à présent, ils n’ont pas‍ réussi à trouver un terrain d’entente. La Chine a proposé un⁤ code de‌ conduite pour régler leurs différends, mais les Philippines⁢ ont rejeté cette proposition.

Alors⁣ que le conflit se⁣ poursuit, il est difficile de prédire ce qui se passera. La Chine et les Philippines pourraient trouver un terrain d’entente et mettre fin au conflit, ou le conflit pourrait s’envenimer ⁣et les ​deux pays pourraient se ⁣retrouver dans une ​guerre. Seul ⁣l’avenir nous le dira.

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