JAKARTA: Des transactions suspectes d’une valeur de trillions de roupies indonésiennes ont été découvertes par des militants qui appellent à une enquête.rnrnSelon des documents obtenus par l’ONG indonésienne de surveillance des finances publiques, l’Institut pour la transparence des finances publiques (ITFIP), des transactions suspectes d’une valeur de trillions de roupies indonésiennes ont été effectuées par des entreprises et des personnes liées à des partis politiques et à des candidats aux élections présidentielles et législatives de 2019.rnrnL’ITFIP a déclaré que les transactions suspectes comprenaient des transferts d’argent entre des entreprises et des personnes liées à des partis politiques et à des candidats, ainsi que des transferts d’argent entre des entreprises et des personnes liées à des partis politiques et à des candidats.rnrnLes militants ont déclaré que les transactions suspectes pourraient être liées à des activités illégales, notamment des pots-de-vin et des financements illégaux de campagne. Ils ont appelé à une enquête approfondie sur les transactions suspectes.rnrnL’ITFIP a déclaré que les transactions suspectes avaient été effectuées par des entreprises et des personnes liées à des partis politiques et à des candidats aux élections présidentielles et législatives de 2019. Les militants ont déclaré que les transactions suspectes pourraient être liées à des activités illégales, notamment des pots-de-vin et des financements illégaux de campagne.rnrnLes militants ont déclaré que les transactions suspectes pourraient avoir un impact négatif sur la démocratie et la transparence des élections en Indonésie. Ils ont appelé le gouvernement à enquêter sur les transactions suspectes et à prendre des mesures pour empêcher les activités illégales liées aux élections.rnrnLe gouvernement indonésien a déclaré qu’il prendrait des mesures pour enquêter sur les transactions suspectes et pour empêcher les activités illégales liées aux élections. Il a également déclaré qu’il prendrait des mesures pour renforcer la transparence et la responsabilité des partis politiques et des candidats aux élections.L’Indonésie a récemment organisé des élections générales le 14 février 2024, qui ont été qualifiées de plus grandes élections à un seul jour dans le monde. Cependant, des transactions suspectes d’une valeur de trillions de roupies ont été découvertes, et des activistes appellent à une enquête. Les transactions s’élèvent à des dizaines de millions de dollars et impliquent des milliers de personnes de «tous les partis politiques», a déclaré le chef de l’agence indonésienne de renseignement financier.
Selon le chef de l’agence, les transactions suspectes ont été découvertes dans le cadre d’une enquête sur des soupçons de blanchiment d’argent et de financement illégal des campagnes électorales. Les transactions impliquent des personnes de tous les partis politiques, a-t-il déclaré, sans donner plus de détails.
Les activistes ont appelé à une enquête plus approfondie sur ces transactions suspectes. Ils ont déclaré que ces transactions pourraient avoir un impact significatif sur le résultat des élections et que les autorités devraient enquêter sur ces allégations.
Les autorités indonésiennes ont déclaré qu’elles enquêtaient sur ces allégations et qu’elles prendraient des mesures pour s’assurer que les élections se déroulent de manière juste et équitable. Elles ont également déclaré qu’elles travaillaient à la mise en place de mesures pour lutter contre le blanchiment d’argent et le financement illégal des campagnes électorales.
Les élections indonésiennes sont considérées comme un test important pour la démocratie du pays et pour la stabilité politique. Les résultats des élections seront scrutés de près par les observateurs internationaux et les résultats pourraient avoir un impact significatif sur l’avenir politique de l’Indonésie.L’élection présidentielle en Indonésie a été marquée par des transactions suspectes d’un montant de trillions de roupies, selon des militants qui appellent à une enquête. Des documents obtenus par l’ONG indonésienne de surveillance des finances publiques, l’Institut pour la Transparence des Finances Publiques (ITFP), montrent que des transactions suspectes ont été effectuées par des entreprises et des particuliers liés à des candidats à l’élection présidentielle. Ces transactions sont estimées à plus de 2 trillions de roupies (environ 140 milliards de dollars).rnrnSelon l’ITFP, ces transactions suspectes ont été effectuées entre le 1er janvier et le 31 décembre 2019. Les documents montrent que des entreprises et des particuliers liés à des candidats à l’élection présidentielle ont effectué des transactions suspectes d’un montant total de 2,2 trillions de roupies. Les transactions suspectes comprennent des transferts d’argent entre des comptes bancaires, des achats de biens et des services, des prêts et des investissements.rnrnLes militants ont déclaré que ces transactions suspectes pourraient être liées à des activités illégales, notamment des pots-de-vin et des dons de campagne illégaux. Ils ont appelé les autorités à enquêter sur ces transactions et à prendre des mesures pour empêcher de telles activités à l’avenir.rnrnL’ITFP a déclaré que ces transactions suspectes pourraient être liées à des activités illégales et à des pratiques de financement de campagne illégales. Les militants ont déclaré que ces transactions pourraient avoir un impact négatif sur la démocratie et la transparence en Indonésie. Ils ont appelé les autorités à enquêter sur ces transactions et à prendre des mesures pour empêcher de telles activités à l’avenir.rnrnLes militants ont déclaré que ces transactions suspectes pourraient être liées à des activités illégales et à des pratiques de financement de campagne illégales. Ils ont appelé les autorités à enquêter sur ces transactions et à prendre des mesures pour empêcher de telles activités à l’avenir. Ils ont également appelé les autorités à mettre en place des mesures pour assurer la transparence et la responsabilité des fonds publics et des fonds de campagne.rnrnLes militants ont déclaré que ces transactions suspectes pourraient avoir un impact négatif sur la démocratie et la transparence en Indonésie. Ils ont appelé les autorités à enquêter sur ces transactions et à prendre des mesures pour empêcher de telles activités à l’avenir. Ils ont également appelé les autorités à mettre en place des mesures pour assurer la transparence et la responsabilité des fonds publics et des fonds de campagne.Le Centre des rapports et de l’analyse des transactions financières (PPATK) de l’Indonésie a découvert des transactions suspectes impliquant des trillions de roupies liées aux prochaines élections présidentielles et législatives. Selon le chef du PPATK, Ivan Yustiavandana, ces transactions impliquent des milliers de personnes avec “diverses affiliations politiques”. Les montants sont très élevés et concernent tous les partis politiques. Ces découvertes surviennent à quelques jours des élections du 14 février 2024, qui seront les plus grandes élections à un seul jour dans le monde. En plus d’un nouveau président et vice-président, les Indonésiens éliront également environ 20 000 législateurs et conseillers aux niveaux national et régional. Des activistes appellent à une enquête sur ces transactions suspectes et à une plus grande transparence dans le financement des campagnes électorales.
L’Agence indonésienne de renseignement financier (PPATK) a remarqué des transactions suspectes dans les comptes de fonds de campagne spéciaux (RKDK) des partis politiques, qui sont utilisés pour financer les campagnes politiques. Selon le site d’actualités Liputan6.
Les candidats sont tenus de fournir des rapports initiaux sur les fonds de campagne et des comptes de fonds de campagne spéciaux (RKDK) à la Commission électorale générale d’Indonésie (KPU) au plus tard 14 jours après avoir été déterminés comme participants aux élections, selon le site Web de la Commission.
Un compte RKDK pour les partis de campagne doit être créé avant la période de campagne, qui a commencé le 28 novembre et se termine après la fin du décompte des votes.
L’agence de renseignement financier a remarqué que les RKDK des partis étaient restés relativement stables, voire plats. Pendant ce temps, des transactions importantes ont été observées à partir d’autres comptes.
«Cela indique une divergence. Nous nous demandons, d’où vient le financement si le RKDK n’est pas actif?», a déclaré M. Ivan, selon des rapports.
Le président Joko Widodo a donné l’instruction mardi aux agences de détection des infractions de suivre les conclusions du PPATK, selon Tempo.
«Tout doit être fait selon les règles existantes … Selon les règles, il y aura des procédures légales», a-t-il déclaré.
Les partis politiques indonésiens sont connus pour utiliser des fonds pour acheter des votes et des soutiens. Les fonds de campagne spéciaux sont généralement utilisés pour cela. Les partis politiques sont tenus de fournir des rapports sur leurs dépenses de campagne à la KPU.
Le PPATK a déclaré qu’il continuerait à surveiller les comptes des partis politiques et à signaler toute activité suspecte à la KPU. Les partis politiques qui ne respectent pas les règles peuvent être sanctionnés par la KPU.
Les élections présidentielles et législatives indonésiennes auront lieu en 2024. Les électeurs indonésiens voteront pour le président et les membres du Parlement. Les partis politiques sont encouragés à respecter les règles et à mener des campagnes équitables.OTES, PAY POLITICAL DOWRIES
The discovery has highlighted the “power of money” in Indonesia’s elections, an anti-corruption official told CNA.
According to research by the Corruption Eradication Commission (KPK), success in legislative and regional head elections is 95.5 per cent determined by money, said Mr Amir Arief, the commission’s director of Anti-Corruption Socialisation and Campaign.
“The power of money is very important. For this reason, election participants such as legislative candidates or political parties believe that the more money they have, the greater their chance of winning the election,” he said.
The money is used to buy votes, mobilise campaign machinery or pay political dowries, among other things.
Political dowry, or “boat money”, refers to what a person must pay to a political party to stand as its representative in parliamentary elections. The amount varies between 1 billion rupiah (US$64,406) and 12 billion rupiah, said Mr Amir.
According to the KPK’s prosecution record, some campaign funds have been sourced through corrupt means, he added.
“For example, regional heads who want to run for election (will take from) their regional funds. They also get campaign funds from various vendors and contractors. If elected, the funders will expect rewards … (such as their companies being awarded) a tender for the procurement of goods and services,” he explained.
“There are also those who get their funds from within the government itself, for example from civil servants who give money to politicians. If the politician wins the regional head position, the civil servant hopes to be appointed the head of the department,” said Mr Amir.
While a monitoring mechanism known as the Campaign Fund Information System (Sidakam) already exists to promote transparency among election participants, “the challenge is whether what the politicians report on Sidakam is transparent”, he said. “That is what the KPU must ensure.”