Shamsa Araweelo, une survivante de l’excision, est à la tête d’une campagne visant à mettre fin à cette pratique néfaste. Elle a fondé l’organisation Somali Women’s Education and Development Organisation (SWEDO) pour aider les femmes somaliennes à s’émanciper et à se protéger contre les pratiques néfastes. Elle a également lancé une campagne pour sensibiliser les gens à l’importance de l’éducation des filles et de la protection des droits des femmes.
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Une pratique néfaste
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L’excision est une pratique néfaste qui consiste à enlever partiellement ou totalement les organes génitaux externes des femmes et des filles. Elle est pratiquée dans de nombreux pays, notamment en Afrique, en Asie et au Moyen-Orient. Elle est considérée comme une forme de violence à l’encontre des femmes et des filles et est interdite par la loi dans de nombreux pays.
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La campagne de Shamsa Araweelo
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Shamsa Araweelo a été victime de l’excision à l’âge de sept ans. Elle a fondé l’organisation SWEDO pour aider les femmes somaliennes à s’émanciper et à se protéger contre les pratiques néfastes. Elle a également lancé une campagne pour sensibiliser les gens à l’importance de l’éducation des filles et de la protection des droits des femmes.
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Araweelo a déclaré : « Nous devons nous unir pour mettre fin à l’excision et à toutes les formes de violence à l’encontre des femmes et des filles. Nous devons nous assurer que les femmes et les filles sont protégées et qu’elles ont accès à l’éducation et à des opportunités économiques. »
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Un travail acharné
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Araweelo a travaillé sans relâche pour sensibiliser les gens à l’importance de l’éducation des filles et de la protection des droits des femmes. Elle a organisé des ateliers et des séminaires pour sensibiliser les gens à l’importance de l’éducation des filles et de la protection des droits des femmes. Elle a également travaillé avec des organisations locales pour promouvoir l’éducation des filles et la protection des droits des femmes.
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Araweelo a déclaré : « Nous devons nous assurer que les femmes et les filles sont protégées et qu’elles ont accès à l’éducation et à des opportunités économiques. Nous devons nous unir pour mettre fin à l’excision et à toutes les formes de violence à l’encontre des femmes et des filles. »
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Araweelo a fait un travail acharné pour sensibiliser les gens à l’importance de l’éducation des filles et de la protection des droits des femmes. Elle a fait preuve d’un grand courage et d’une grande détermination pour mettre fin à l’excision et à toutes les formes de violence à l’encontre des femmes et des filles.
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Un message d’espoir
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Araweelo a déclaré : « Je veux que les femmes et les filles sachent qu’elles sont fortes et qu’elles peuvent faire face à toutes les difficultés. Je veux qu’elles sachent qu’elles sont capables de réaliser leurs rêves et de réussir dans la vie. »
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Araweelo a fait preuve d’un grand courage et d’une grande détermination pour mettre fin à l’excision et à toutes les formes de violence à l’encontre des femmes et des filles. Son message d’espoir est un rappel important de l’importance de l’éducation des filles et de la protection des droits des femmes.
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Shamsa Araweelo, une survivante de l’excision, mène une campagne pour mettre fin à cette pratique néfaste. Elle a récemment été invitée à participer à l’émission Perspective de 3sec pour parler de son combat.
L’excision est une pratique qui consiste à enlever partiellement ou totalement les organes génitaux externes des femmes et des filles. Elle est pratiquée dans de nombreux pays africains et est considérée comme une forme de violence à l’encontre des femmes et des filles.
Shamsa Araweelo est une survivante de l’excision et une militante qui mène une campagne pour mettre fin à cette pratique. Elle a été invitée à l’émission Perspective de 3sec pour parler de son combat. Dans l’émission, elle a expliqué que l’excision est une pratique qui a des conséquences négatives sur la santé des femmes et des filles et qu’elle doit être abolie.
Elle a également souligné que l’excision est une pratique qui est encore très répandue dans de nombreux pays africains et qu’il est important de sensibiliser les gens à ce sujet. Elle a expliqué que la sensibilisation est essentielle pour mettre fin à cette pratique et qu’il est important de s’assurer que les femmes et les filles sont conscientes des risques et des conséquences de l’excision.
Shamsa Araweelo a également souligné que l’excision est une pratique qui est souvent encouragée par les communautés et les familles et qu’il est important de sensibiliser les gens à ce sujet. Elle a expliqué que la sensibilisation est essentielle pour mettre fin à cette pratique et qu’il est important de s’assurer que les femmes et les filles sont conscientes des risques et des conséquences de l’excision.
Shamsa Araweelo a également souligné que l’excision est une pratique qui est souvent encouragée par les communautés et les familles et qu’il est important de sensibiliser les gens à ce sujet. Elle a expliqué que la sensibilisation est essentielle pour mettre fin à cette pratique et qu’il est important de s’assurer que les femmes et les filles sont conscientes des risques et des conséquences de l’excision.
Shamsa Araweelo a également souligné que l’excision est une pratique qui doit être abolie et qu’il est important de s’assurer que les femmes et les filles sont conscientes des risques et des conséquences de l’excision. Elle a expliqué que la sensibilisation est essentielle pour mettre fin à cette pratique et qu’il est important de s’assurer que les femmes et les filles sont conscientes des risques et des conséquences de l’excision.
Shamsa Araweelo a fait un travail remarquable pour sensibiliser les gens à l’excision et à ses conséquences négatives. Elle a expliqué que la sensibilisation est essentielle pour mettre fin à cette pratique et qu’il est important de s’assurer que les femmes et les filles sont conscientes des risques et des conséquences de l’excision. Elle a également souligné que l’excision est une pratique qui doit être abolie et qu’il est important de s’assurer que les femmes et les filles sont conscientes des risques et des conséquences de l’excision.
Shamsa Araweelo est un exemple inspirant pour les femmes et les filles qui luttent contre l’excision et qui cherchent à mettre fin à cette pratique néfaste. Elle a fait un travail remarquable pour sensibiliser les gens à l’excision et à ses conséquences négatives et elle continue de mener sa campagne pour mettre fin à cette pratique.Shamsa Araweelo, une femme originaire de Somalie qui a été forcée de subir une excision génitale féminine (EGF) lorsqu’elle était enfant, a raconté à 3sec comment elle a réussi à transformer sa vie et à transformer son expérience horrible en une force pour le bien. Ses vidéos TikTok, dans lesquelles elle explique à l’aide de modèles en caoutchouc exactement ce que l’EGF fait à une femme, ont reçu environ 70 millions de vues. Désormais basée au Royaume-Uni, elle milite pour aider les personnes touchées et pour tenter de mettre fin à cette pratique dangereuse. Elle nous a parlé dans Perspective.
Aujourd’hui, Shamsa Araweelo est une militante reconnue qui s’efforce de sensibiliser le public à l’EGF et de mettre fin à cette pratique. Elle a créé des vidéos TikTok qui ont été vues plus de 70 millions de fois et qui expliquent clairement ce que l’EGF fait aux femmes. Elle a également créé une campagne de sensibilisation intitulée « Stop FGM » et a lancé une pétition pour mettre fin à l’EGF.
Shamsa Araweelo a déclaré à 3sec que l’EGF est une pratique qui a des conséquences à long terme sur la santé physique et mentale des femmes. Elle a souligné que l’EGF est une violation des droits de l’homme et qu’elle doit être abordée comme telle. Elle a également souligné que l’EGF est une pratique qui est encore très répandue dans de nombreux pays, notamment en Somalie, et qu’il est important de sensibiliser le public à ce sujet.
Shamsa Araweelo a également souligné que l’EGF est une pratique qui est souvent encouragée par les familles et les communautés, et qu’il est important de sensibiliser les gens à l’importance de mettre fin à cette pratique. Elle a déclaré que la meilleure façon de mettre fin à l’EGF est de sensibiliser les gens à ses conséquences et de les encourager à s’engager pour mettre fin à cette pratique.
Shamsa Araweelo a déclaré que son objectif est de sensibiliser le public à l’EGF et de mettre fin à cette pratique. Elle a déclaré qu’elle espère que sa campagne et ses vidéos TikTok aideront à sensibiliser le public et à mettre fin à l’EGF. Elle a également souligné qu’il est important de s’assurer que les femmes qui ont subi l’EGF reçoivent le soutien et l’aide dont elles ont besoin pour se rétablir.La mutilation génitale féminine (MGF) est une pratique qui consiste à enlever partiellement ou totalement les organes génitaux externes des femmes et des filles. Cette pratique est très répandue dans de nombreux pays, notamment en Afrique, en Asie et au Moyen-Orient. Malgré les efforts des Nations Unies et des organisations internationales pour lutter contre cette pratique, elle continue de se produire dans le monde entier.
Selon une étude réalisée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), environ 200 millions de femmes et de filles dans le monde ont subi une forme de mutilation génitale féminine. La pratique est le plus souvent effectuée sur des jeunes filles âgées de moins de 15 ans.
La MGF est souvent perçue comme une pratique culturelle et religieuse, mais elle est en fait le résultat de la discrimination à l’égard des femmes et des filles. Les femmes qui subissent cette pratique sont souvent victimes de violence physique et psychologique et sont souvent privées de leurs droits fondamentaux.
Selon des témoignages recueillis par des journalistes, les femmes qui pratiquent la MGF le font souvent pour satisfaire les hommes. Elles sont souvent sous pression pour effectuer cette pratique, car elles sont considérées comme des « gardiennes de la moralité » et sont souvent menacées de représailles si elles ne le font pas.
La MGF est une pratique très douloureuse et dangereuse qui peut entraîner des complications à court et à long terme, notamment des infections, des saignements et des problèmes de santé mentale. Les femmes qui subissent cette pratique sont également exposées à un risque accru de complications lors de l’accouchement et de la maternité.
Les Nations Unies et les organisations internationales ont lancé des campagnes pour sensibiliser les populations à la MGF et pour encourager les gouvernements à adopter des lois pour interdire cette pratique. Malgré ces efforts, la MGF continue de se produire dans le monde entier et des millions de femmes et de filles sont encore exposées à ce risque. Il est donc essentiel que les gouvernements et les organisations internationales continuent de travailler ensemble pour mettre fin à cette pratique cruelle et inhumaine.