Le 18 décembre 2023, le président égyptien Abdel Fattah al-Sisi a remporté un troisième mandat à la présidence par une large majorité. Les résultats officiels ont montré que Sisi a obtenu 92,8% des voix, soit 24,9 millions de voix, contre 721 000 pour son principal rival, Moussa Mostafa Moussa.
Le scrutin a été marqué par une faible participation, avec seulement 41,5% des électeurs ayant voté. Cela est en partie dû à la répression des opposants et à la censure des médias, qui ont empêché une campagne libre et équitable.
Sisi a été élu pour la première fois en 2014, après avoir renversé le président démocratiquement élu Mohamed Morsi. Depuis lors, il a été accusé de réprimer la liberté d’expression et de réduire les droits des minorités.
Malgré ces critiques, Sisi a été réélu avec une large majorité, ce qui montre que de nombreux Égyptiens sont satisfaits de sa gestion du pays. Il a promis de poursuivre sa politique de modernisation et de développement économique, et de poursuivre sa lutte contre le terrorisme.
Le président élu a déclaré que son mandat serait consacré à «la réalisation des aspirations des Égyptiens à une vie meilleure et à la réalisation de leurs rêves». Il a également promis de «renforcer la démocratie et la liberté» et de «garantir la justice sociale».
Sisi a été soutenu par de nombreux pays, dont les États-Unis, la Russie et l’Arabie saoudite. Il a également reçu le soutien de l’Union européenne et de l’Organisation des Nations unies.
Le président élu a déclaré qu’il allait «travailler avec tous les Égyptiens pour construire un avenir meilleur». Il a également promis de «renforcer la démocratie et la liberté» et de «garantir la justice sociale».
Le président élu Abdel Fattah al-Sisi a remporté un troisième mandat à la présidence égyptienne par une large majorité. Malgré les critiques de sa politique répressive, Sisi a été soutenu par de nombreux pays et a promis de poursuivre sa politique de modernisation et de développement économique, ainsi que de lutter contre le terrorisme. Il a également promis de «renforcer la démocratie et la liberté» et de «garantir la justice sociale».Le président égyptien Abdel Fattah al-Sisi, qui a régné sans contestation pendant les neuf dernières années, a été réélu pour un troisième mandat de six ans, ont annoncé lundi les autorités électorales. Sisi a obtenu un triomphe écrasant, remportant 89,6% des voix, a déclaré l’Autorité électorale nationale. Cependant, l’enthousiasme affiché par les médias locaux et la conférence de presse de Sisi ne reflète pas le sentiment public, a déclaré le correspondant de 3sec, Eduard Cousin. «Ils [les Égyptiens] ont senti que c’était un spectacle, ils ont senti que sous Sisi au cours des 30 dernières années, les choses sont devenues plus difficiles», a-t-il déclaré.Le président égyptien Abdel Fattah al-Sisi a été réélu pour un second mandat avec 97% des voix lors des élections présidentielles qui se sont tenues en mars 2018. Cette victoire a été saluée par les partisans du président, mais elle a été critiquée par les opposants qui ont dénoncé le manque de transparence et de pluralisme des élections.
Le président al-Sisi a été élu pour un premier mandat en 2014, après avoir renversé le président démocratiquement élu Mohamed Morsi en 2013. Depuis lors, il a mis en œuvre une série de réformes économiques et sociales, mais aussi des mesures répressives contre les opposants politiques et les médias indépendants.
Les élections de 2018 ont été marquées par une faible participation et une absence de débats entre les candidats. Al-Sisi a été le seul candidat à se présenter, et il a été accusé de harceler et de menacer les opposants et les médias. Les observateurs internationaux ont également dénoncé le manque de transparence et de pluralisme des élections.
Malgré ces critiques, le président al-Sisi a été réélu avec une large majorité. Il a promis de poursuivre ses réformes économiques et sociales et de poursuivre sa lutte contre le terrorisme et la corruption. Il a également promis de promouvoir la liberté d’expression et de respecter les droits de l’homme.
Les opposants politiques et les défenseurs des droits de l’homme restent sceptiques quant aux promesses du président al-Sisi et craignent que ses réformes ne soient pas suffisamment profondes pour améliorer la situation des Égyptiens. Ils appellent à une plus grande transparence et à une plus grande liberté d’expression et de mouvement.
Les prochaines années seront cruciales pour le président al-Sisi et pour l’avenir de l’Égypte. Les Égyptiens attendent de voir si le président sera en mesure de tenir ses promesses et de répondre aux attentes de la population.